25 février 2012
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00:40
Oh hiver saison austère
Ta neige c’est un froid de fer
Les oiseaux voyagent vers le chaud;
Prendre le chemin tourné le dos
Comme tu la fais hier
Toi belle créature du vent
Ton absence t’a rendu fier ?
Pourquoi me faire entrer dans ta prison,
Cette pluie qui efface tout le reste
Comme les larmes de la tristesse;
Le plus beau sentiment en détresse
L’oublie c’est le seul remède
À travers les jours et les mois,
Ton souvenir reste malgré moi.
Cette oeuvre est mise à disposition sous licence Art
Libre.
collections : Vent D'hiver
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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Poésie
20 février 2012
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/2012
23:22
Se noyer dans ce temps morose
Rien ne se réalise rien ne se compose,
Se chercher pour trouver rien
À peine notre rencontre qui nous maintient ;
Un mal qui nous fait souffrir
Une situation grave de pire en pire
Le rêve que j’ai dessiné hier,
N’est plus qu’un cœur fier
De recommencer le chemin
Se guider vers là-bas loin
Les jours comme des nuits obscures ;
Dans ce moment noir qui nous torture
Une blessure des fractures
La chute comme une pierre.
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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Poésie
20 février 2012
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23:12
Je vois dans tes yeux
Une étincelle un feu
Une balade dans la nuit,
Ou l’éveil tue l’ennui
Ô ciel tu me procures un repos,
Un réveil où je te murmure des mots
La mélancolie envahissante qui voile ;
L’atmosphère les cœurs les étoiles
Tu es le rêve l’ambition le frère
Le soleil le foyer prospère
Le soir ou l’obscurité c’est l’infini ;
La chouette solitaire qui fait des cries
La lune lumineuse qui pleure
Le temps de vieillir comme les fleures.
Cette oeuvre est mise à disposition sous licence Art
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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Poésie
20 février 2012
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23:06
La ville plonge dans le gris
Des dessins sur les mures,
La vie nocturne commence cette nuit
Des brouillons des feuilles des ratures
Le silence nous mène vers l’obscurité ;
Nous murmure-le son du vide
Mensonge hypocrisie cruauté
Nous fait vieillir par les rides
À force de travailler la nuit
En s’endorme presque l’ennui
En chante en créer des histoires ;
Qui laisse le lecteur à croire
Dans le monde qui enchante,
Où les âmes ensommeillées se rencontrent.
Cette oeuvre est mise à disposition sous licence Art
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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Poésie
20 février 2012
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22:44
Je suis la nuit
Au fond de l’obscurité
Des étoiles qui brillent,
Pleine lune sur la cité
Je suis l’éveil comme le temps
Les saisons les mois le printemps
Les chanteurs me chantent,
Les tourmentes qui me hantent
Je suis la nuit
Je lance mes ailes du rêve
Mes ailes du silence d’insomnie,
Je fais des larmes une sève
Pour s’évader de la tristesse,
Le cœur amoureux en détresse
Leurs yeux qui brillent, une étincelle ;
Qui a un côté émotionnel
Je suis la nuit
Où tous peuvent s’étaler
Où tous peu finir s’en aller
Où l’inspiration vaincra l’ennui
Je suis la nuit
Où le temps change de jour
Les êtres se rencontrent par amour ;
Où la patience est un fruit
D’où viens-tu chagrin
Des larmes qui nous, tien ;
La nuit, nous berce-nous transporte
L’éveille s’éclore se comporte.
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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20 février 2012
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/2012
22:39
Ainsi le temps les jours les mois
Des générations avant nous quand croient
Un monde nouveau loin de nous,
Loin de nos rêves et coute un argent fou
Un décalage des mentalités des années-lumière
À courir derrière un mirage un désert
Culture fracassée en mauvaise posture ;
Le désordre qui règne manque d’air pur
C’est notre temps ou illusion
Des choses quand a apprit par principe ;
Que des paroles caricaturées dérision
Passage vers la modernité un transit,
Où est-elle si elle existe
En arrivée on est triste.
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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18 février 2012
6
18
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/2012
00:56
Voyage dans ces lieux anonymes
Notre bien être nos vœux les plus intimes
Se trouve sur les plages de l’infini,
Tu te souviens de cette histoire c’est fini
C’est la quête des conquérants ;
Vers de nouveau continent
La vie pleine de sentiments,
Ces cœurs perdus errent
La nuit qui murmure son silence
Le déprimer le philosophe qui pense ;
Le bâton dans la roue qui entrave
Les problèmes chaque jour s’aggravent
En rame au milieu d’un océan noir,
Un ami que je souhaite le revoir.
Cette oeuvre est mise à disposition sous licence Art
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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18 février 2012
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00:45
Voici mon jardin de fleur
Assis sur le bon, oublions nos peurs
Dans la nuit qui m’éveille
Je cultive mes rêves au ciel ;
Je contemple l’âme en moi
Lire des lignes en soie
Pousser dans un chemin de lumière,
Faire tomber toutes les barrières
La volonté qui brise la glace
Les idées les ambitions s’entassent
Cette chose qui s’appelle la flamme,
C’est comme l’amour d’une femme
La nuit qui reprend la ville,
Sur le point de départ immobile.
Cette oeuvre est mise à disposition sous licence Art
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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18 février 2012
6
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/février
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00:32
En se noie dans la souffrance l’avarice
Le cerveau la mémoire la malice
En fait beaucoup du mal aux gens
L’homme n’est pas reconnaissant
Et ne demande jamais un pardon ;
Rares sont ces êtres qui croient la raison
Éduqué et ils ont principe foyer et maison
Ça fait mal d’entendre des gros mots,
De ces créatures du mal des cons
Délinquance délie et prison ;
Ils entravent toutes les lois des citoyens
Toute chose est permise par tous les moyens,
Heureusement, le droit existe les honnêtes sont rois
En les vois à chaque bout des rues
Un langage comme du charabia pourri,
Qui tombe dans leurs mains est des proies.
Cette oeuvre est mise à disposition sous licence Art
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collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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18 février 2012
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18
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00:25
Le soir je me berce par un air pur
Le coucher majestueux d’un temps dur
Le rayonnant soleil se cache derrière l’horizon ;
Le cœur a mille fois raison
Ton manque le laisse seul triste
L’être qui te parle existe,
Il pleure sur ses beaux souvenirs
Son destin c’est d’aimer et souffrir
Il a brulé toutes ses lettres
Comme l’homme prêtre
Veut-il oublier son passé,
Son histoire s’est effacée
Aucune peine aucun remords ;
La nuit où tous s’endorment.
Cette oeuvre est mise à disposition sous licence Art
Libre.
collections : Les nuits tourmentées
signé: Badr Alaoui Mrani
Badr Alaoui Mrani
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Poésie